171 Résultats pour auteur: Pierre Bonneau

Enfin du bison au menu!

Les bisons de populations établies depuis des millénaires, comme ceux du parc national Wood Buffalo, dans le nord de l’Alberta, sont parfaitement intégrés à la chaîne alimentaire et constituent une source importante de nourriture pour les loups. Or qu’en est-il des populations réintroduites durant les années 1970 ... Afficher plus...

Fruits attirants

Quelques baies bleu-noir couronnent l’extrémité d’une plante établie à l’ombre des grands arbres d’une érablière. Ce sont des fruits de médéole de Virginie, une vivace au feuillage verticillé, un terme qui signifie que le feuillage est disposé au même niveau autour de la tige, et sur deux étages dans le ... Afficher plus...

La ville colonisée

Au cours des dernières années, l’apiculture amateur a pris un essor considérable. Ainsi, sur la seule île de Montréal, le nombre de colonies est passé de quelques centaines en 2013 à presque 3000 en 2020. Cela fait beaucoup de miel, mais aussi beaucoup d’abeilles domestiques dans un espace relativement limité. ... Afficher plus...

Un acrobate nocturne

La nuit tombe dans une forêt de conifères. Blotti au creux d’un arbre, un rongeur de la taille d’un écureuil roux se réveille, prêt à entreprendre ses activités. Le grand polatouche s’élance du haut d’une branche et plane jusqu’au sol, porté par la membrane tendue entre ses pattes et gouverné par sa queue ... Afficher plus...

Un coléoptère glouton

La succession écologique d’insectes nécrophages sur la carcasse d’un animal suit généralement une séquence relativement bien définie. Dans le cas d’un corps humain retrouvé à l’extérieur, les enquêteurs médico-légaux sont ainsi en mesure d’établir le moment du décès. Cependant, des scientifiques de ... Afficher plus...

Se chauffer la couenne

Pendant la saison estivale, quelques plages et îlots rocheux de l’Arctique et du Grand Nord québécois accueillent des hordes de centaines de visiteurs affublés de longues défenses d’ivoire. En l’absence de glace, les morses s’y entassent pour muer, même si ces poids lourds ne sont pas très velus. Leur peau ... Afficher plus...

Éteindre sans contaminer

Le changement climatique augmente la fréquence des feux de forêt. Afin de rendre l’eau utilisée plus efficace, des agents ignifuges — mousses, gels et retardateurs de flammes — y sont souvent ajoutés avant l’arrosage. La toxicité de ces additifs étant encore mal définie, le ruissellement et l’application ... Afficher plus...

Robuste punaise

En été, le plus gros insecte aquatique du Québec, le léthocère d’Amérique, prend son envol pour quitter étangs et bords de lacs dans le but de s’accoupler ou de dénicher de nouveaux territoires de pêche. Voilà qui explique la présence occasionnelle de cette punaise d’eau géante de 6 cm sur une pelouse ou ... Afficher plus...

Ours noir, ours canelle

Contrairement aux petits mammifères proies chez qui la teinte variable de la toison est décrite comme un moyen de camouflage, les forces évolutives liées à la couleur du pelage des prédateurs sont moins faciles à discerner. Comment expliquer, par exemple, que de nombreux ours noirs en Amérique du Nord exhibent un ... Afficher plus...

Pas tous orange, les cônes

Le mélèze laricin se démarque des autres conifères d’Amérique du Nord par la perte annuelle de tout son feuillage. Chaque printemps, ses branches se garnissent à nouveau de faisceaux de 15 à 60 aiguilles souples, d’un vert pâle bleuté. Les mélèzes matures, âgés de plus de dix ans, produisent ensuite des ... Afficher plus...